29 avril 2010
Ainsi meurent les mots anciens. Bernardo Atxaga, Le fils de l’accordéoniste
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Soinujolearen semea Ainsi meurent les mots anciens Combien il est difficile de faire entendre en littérature une voix dans une langue minorée, c’est-à-dire de se trouver un public, parmi les locuteurs de cette langue même et bien sûr, plus encore, au-delà...