
Les Francophonies en Limousin, cette noble institution culturelle par laquelle notre région tente d’expier son passé patoisant (dont on jure craché qu’il est bien désormais définitivement aboli[1]) en invitant le monde entier à lui seriner la langue de Molière, sont entrées cette année (année des francophonies tous azimuts, universelles, orbi et urbi) discrètement, peut-être malgré elles, dans une phase nouvelle et fort intéressante : dans plusieurs spectacles les langues colonisées se sont invitées sur le plateau, oh certes sans...
[Lire la suite]